Les rues redeviennent simples et silencieuses (si facilement)
Que nous pataugeons dans leur crasse (et leur poussia?re)
Les bras brallants, les yeux coulants
Un trop peu d'air qui t'enferme lentement
Lentement car maintenant, tu es au bout de mes la?vres
Un megot qui s'embrase a peu pra?s et qui me blesse lentement
Car aujourd'hui tu es au bout de mes la?vres
Cette blessure qui trop souvent ramene ses cendres juste a peine consumees
Ses cendres encore moins digerees
Mais, est-ce que tu restes aussi souvent ecoeure? (Mais le cur y est)